Quand on parle de résistance à l’avancement, l’on fait directement allusion à la force que l’eau réplique au corps immergé dans l’eau. Si cette opposition est parfois un frein à l’amélioration des performances, elle peut également augmenter votre vitesse. Cela amène à se poser la question de savoir quels sont les types de résistance en natation.
Résistance active et résistance passive
En effet, la résistance passive est cette force qui freine l’avancement du nageur. Elle est souvent le résultat d’une position de la tête, d’un alignement du corps et du placement des bras.
Par contre, la résistance active est une force qui propulse le nageur vers l’avant. C’est le fruit d’une bonne orientation des mains et des pieds. Elle se distingue également par les battements des jambes. De toutes les façons, un équilibre entre la résistance active et la résistance passive est nécessaire pou
r augmenter la vitesse et par conséquent progresser en matière de glisse. En un mot, il est question de favoriser la propulsion et de restreindre la résistance à l’avancement en natation.
Résistance de forme et résistance frontale
Encore connue sous la fameuse appellation de maître-couple, la résistance frontale est une opposition à l’avancement opérée par le nageur à la surface de l’eau. En fait, le nageur glisse mieux dans l’eau lorsqu’il est en position horizontale.
Par ailleurs, la résistance de forme est une force qui intervient lorsque le nageur adopte un profil hydrodynamique. L’on note alors que les grands nageurs connaissent une faible résistance de forme. Par contre, les nageurs avec de longs bras peuvent glisser plus vite si tant est qu’ils peuvent explorer de l’eau plus loin.
